L’Auvergnat de Paris vous propose une sélection de liqueur, spiritueux, vin blanc et soda.
Version Scharf de Jägermeister
Liqueur née à Berlin en 1934 et qui est aujourd’hui présente dans 180 pays, Jägermeister se décline désormais dans une nouvelle version Scharf. Cette nouvelle boisson se présente comme « une réécriture de l’expérience originale pour la rendre encore plus intense ». La formule réinterprète l’équilibre autour des 56 ingrédients naturels de Jägermeister. Vieillie durant douze mois en fûts de chêne, cette boisson titre 33° et sa dégustation est conseillée en shots glacés. La bouteille conserve sa forme et son emblématique dessin de tête de cerf, mais le graphisme de l’étiquette a subi une audacieuse modernisation.
Cognac tout droit venu de 1992
Élu Meilleur cognac de l’année par le cognac Taste Master 2020, Frapin Millésime sort des chais. Le jury a salué son côté fruité et épicé. Vieux de 26 ans d’âge, cet alcool a été distillé sur lies avant de vieillir en fûts de chêne scellés. Il a ainsi dormi dans les greniers des chais où l’atmosphère est plus sèche. Il s’agit d’une production confidentielle limitée à 3 000 bouteilles de 70 cl. Au nez, ce cognac révèle des arômes de pruneau et de réglisse alors qu’en bouche des notes fl orales et fruitées se développent.
La cuvée carius en cairanne blanc
Excellent rapport qualité-prix, cette cuvée Carius du domaine des Grandes Serres est vendue au prix de départ cave de 8 €. Issue des argiles de la montagne et des garrigues, elle exprime la belle richesse de la palette aromatique des côtes-du-rhône blancs méridionaux avec des notes fruitées d’abricot, d’agrumes et de fleurs blanches et d’amande. La présence du viognier est très nette dans ce vin également constitué de grenache blanc, de roussanne, et de marsanne. Une fermentation de quatre semaines entre 15 et 19 °C, favorise l’expression des arômes fruités.
Orangina trop secouée
En ce mois de juin, d’étranges bouteilles d’Orangina ont fait leur apparition sur les marchés de la grande distribution et du CHR en bousculant les codes. Pendant trois mois, une édition spéciale de la marque apparaîtra avec l’anagramme Onagrina figurant sur les étiquettes. Une façon de surprendre le marché en renouant avec le thème de la boisson secouée. Il n’y a pas que la marque dont l’ordonnancement des lettres est perturbé. Le slogan devient « À trop secouer le mnode, on finit complètement Cpolètmenet secouée ! »
