Jean-Michel Schaeffer, Appie & Cie… Les repères de la semaine
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Jean-Michel Schaeffer, Appie & Cie… Retrouvez les repères de la semaine avec l’Auvergnat de Paris et Au Cœur du CHR.
Jean-Michel Schaeffer a été réélu à la tête d’Anvol, l’interprofession des volailles de chair, pour les trois prochaines années. L’ensemble de son bureau a, lui également, été réélu. Aujourd’hui, Jean-
Michel Schaeffer est aussi président de la Confédération française de l’aviculture (CFA). Dans ces différentes missions, il sera accompagné par Gilles Huttepain, vice-président d’Anvol et de la Fédération des industries avicoles (FIA), mais également de Bernard Tauzia, secrétaire général d’Anvol et président du Syndicat national des labels avicoles de France (Synalaf) et, enfin, de Patrick Pageard, trésorier d’Anvol et président du comité interprofessionnel de la dinde française (CIDEF).
Appie & Cie, une entreprise située à Pantin (Seine-Saint- Denis), a récemment repris la brasserie BAPBAP, soit neuf mois après sa mise en redressement judiciaire. Cette dernière est une habituée du secteur, que ce soit à travers ses cidres Appies, ses softs Mona ou bien ses bières Hubster. Quoi qu’il en soit, en reprenant la brasserie BAPBAP, Appie & Cie s’engage à « reprendre la marque, les produits, les recettes ainsi que l’intégralité des équipes ». Parallèlement, pour se relancer, l’entreprise mise sur des bières en canette, du sans alcool ou des recettes éphémères. À noter que Edouard Minart et Archibald Troprès (les cofondateurs de BAPBAP) quittent, quant à eux, la brasserie.
Giuseppe Lavazza, président du groupe Lavazza depuis 2023 a déclaré : « Aujourd’hui, la France constitue le marché le plus important du groupe, avec l’Italie. » En effet, en 2023, le marché français a ainsi représenté 511,1 M€. Parmi ceux-ci, 350,6 M€ ont été réalisés par Carte Noire SAS, dédié au retail, 109,2 M€ par Lavazza France, dont 67 M€ par le Foodservice et 43 M€ par l’« Office Coffee Service vending », c’est-à-dire le segment des machines à café situées dans les bureaux, les aires d’autoroutes, les gares ferroviaires et les aéroports. Le président se félicite des positions de leader de ses marques surle marché CHR ainsi que sur celui du domicile.
En baisse
Pernod Ricard, spécialisé dans la fabrication et la distribution de vins et spiritueux, a pris un virage stratégique en décidant de vendre une partie de ses vins étrangers à la société Australian Wine Holdco Limited (AWHL), un consortium d’investisseurs. Le groupe français se sépare ainsi de ses vins en provenance d’Australie (Jacob’s Creek), de Nouvelle- Zélande (Stoneleigh) mais également d’Espagne (Campo Viejo). Ces spiritueux représentent un volume annuel de 10 millions de caisses de 9 litres. Pernod Ricard justifie cette cession par une volonté de « se concentrer sur son portefeuille de marques premium de spiritueux, moteur de sa croissance ». La vente devrait se finaliser au second trimestre 2025.
Dans la presse
Sur le site actu.fr, le 16 juillet, le journaliste Thibaut Calatayud relaye l’annonce, par la préfecture des Pyrénées-Orientales, de la fermeture d’un établissement à Osséja pour raisons sanitaires, pourtant bien évalué sur Google. « Lors d’un contrôle sanitaire dans les cuisines de ce restaurant bien noté sur Google (4 étoiles, pour plus de 300 avis), de nombreux dysfonctionnements ont été constatés. Parmi eux ? Des produits périmés et avariés, un amoncellement de déchets, de cartons, de croquettes pour animaux, ou encore une absence de nettoyage. Selon les services de l’État, les murs et les sols étaient encrassés, tandis que certains équipements étaient souillés. En raison de ce non-respect des normes sanitaires et pour protéger la santé des consommateurs, le préfet a pris la décision de fermer temporairement l’établissement. Cette mesure sera levée dès que le restaurant sera à nouveau en conformité. »
Insolite
Tork, marque de produits et de services d’hy- giène pour les professionnels et filiale du groupe Essity, dévoile un désodorisant pouvant durer jusqu’à 90 jours, facile à utiliser et à recharger. Ce produit donne suite à une étude que la marque a menée auprès de plusieurs salariés. Cette dernière a démontré que 85 % des collaborateurs estiment que la propreté des sanitaires reflète la propreté globale d’un établissement. De même que 67 % d’entre eux affirment être plus susceptibles de se plaindre de la propreté des sanitaires que de tout autre espace de leur bureau. De plus, 45 % des récla- mations reçues par les directeurs d’établisse- ment proviennent des sanitaires.
