Plusieurs collectivités locales offrent des subventions aux entreprises qui choisissent des véhicules non polluants, à Paris ou Lyon par exemple.
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Le triporteur peut être un choix judicieux pour les restaurateurs. Économiquement, ils doivent étudier la rentabilité de ce véhicule s’ils proposent un service de livraison, notamment le street-picking. Plusieurs collectivités locales offrent des subventions aux entreprises qui choisissent des véhicules non polluants. Pour inciter aux mobilités propres, la Mairie de Paris propose, par exemple, aux TPE et PME parisiennes (50 salariés au maximum) de bénéf i cier jusqu’à 400 € d’aide pour l’achat ou la location d’un vélo à assistance électrique. Cette aide peut s’élever « jusqu’à 1 200 € pour l’achat ou la location d’un vélo cargo ou d’un triporteur à assistance électrique ou non ».
La métropole de Lyon – où le street picking est déjà développé – permet aux professionnels d’obtenir « une subvention de 300 € pour l’achat d’un vélo triporteur électrique ». En dehors des aides publiques, les entreprises proposent aussi des aides commerciales. La société Yokler de Villeurbanne, dont les triporteurs à assistance électrique sont vendus à partir de 6 990 € HT, propose « une offre en leasing sur vingt-quatre mois, à 299 € HT/mois tout inclus » , à laquelle s’ajoutent deux mois gratuits « pour aider les restaurateurs à s’équiper ».
