Le négociant Duclot présente ses références de grands vins du monde
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Duclot, le négociant de la Place de Bordeaux, a profité de la mise en marché des vins du monde pour présenter quelques-unes de ses références de grands vins du nouveau monde.
Comme à chaque rentrée, dans le cadre des mises en marché des vins du monde via la Place de Bordeaux, le négociant Duclot a présenté ses références en grands vins du nouveau monde mais également d’Italie et d’Espagne. Ainsi, les cuvées Bodegas Caro 2021 (Prix : 61,20€) et Cheval des Andes 2020 (Prix : 93,60€), toutes deux de Mendoza, en Argentine, côtoient celles chiliennes de Seña – Seña 2021 (Prix : 156€) et Rocas de Seña 2021 (Prix : 67,80€) – issues de l’Aconcagua Valley. Au nord du continent, au niveau de la Napa Valley, en Californie, nous pouvons retrouver Opus One, avec ses millésimes 2018 (Prix : 384€) et 2019 (Prix : 378€), mais également Inglenook, le domaine appartenant au réalisateur Francis Ford Coppola, avec les cuvées Rubicon 2020 (Prix : 190,80€) et Cabernet Sauvignon 2020 (Prix : 82,80€). Sur le continent africain, l’Afrique du Sud n’est pas en reste avec le Vin de Constance 2020 (Prix : 66€), composé exclusivement de muscat de Frontignan récolté en vendanges tardives par Klein Constantia. La cuvée Matallana 2020 (Prix : 69,60€), du vigneron Telmo Rodríguez, est à découvrir parmi les vins espagnols, tout comme Caiarossa 2020 (Prix : 68,40€), qui représente la région italienne de Toscane.
Une offre sélective
« À la rentrée 2023, nous disposons de 50 références de vins hors Bordeaux sur les 150 que compte la Place de Bordeaux. Nous essayons d’être sélectifs sur l’offre », indique Thomas Baudin, responsable des achats Place de Bordeaux pour Duclot. « Nous avons envie de rester sur des vins iconiques, qui viennent remplir une case vacante. Il faut une vraie histoire. Nous essayons également de faire profiter de la distribution atomisée que nous sommes en capacité de proposer », ajoute-t-il ainsi. Par ailleurs, le négociant qui emploie 180 personnes réalise 75% de ses ventes totales à l’export, ce marché atteignant même les 90% s’agissant des vins étrangers. « Le marché des grands vins ralentit un peu, à cause de l’impact de la guerre en Ukraine, de l’inflation et de l’augmentation des taux. Il n’existe pas de marché refuge même si en France il résiste mieux qu’à l’étranger, grâce au fait que nous sommes proches de la clientèle particulière », constate néanmoins Thomas Baudin.
