Les apprentis de l’hôtellerie-restauration sont très prisés

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Les étudiants ayant suivis des formations en alternance bénéficient d’une meilleure insertion sur le marché du travail, selon les données de la Dares. L’hôtellerie, la restauration et le tourisme connaissent l’un des meilleur taux, avec une insertion qui s’élève à 61%.

Jeune chef en formation
Dans l'hôtellerie, restauration et tourisme , 61 % des sortants d'apprentissage sont salariés, en progression de 13 points par rapport à 2020. Crédit : Unsplash.

Selon la Dares (direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques), six mois après leur sortie d’études en 2021, 65 % des apprentis de niveau CAP à BTS sont en emploi salarié dans le privé en janvier 2022. Une part qui augmente de quatre points par rapport à la génération précédente, sortie en 2020, qui avait été particulièrement touchée par la crise sanitaire.

La levée des restrictions sanitaires liées à la crise sanitaire et la reprise de l’activité bénéficient tout particulièrement aux apprentis formés à l’hôtellerie-restauration-tourisme. En effet, dans le secteur, 61% des sortants d’apprentissage sont salariés, en progression de 13points par rapport à2020. Les sortants d’une formation spécialité « alimentation, agroalimentaire, transformation » voient également leur taux d’emploi augmenter à 66 % (+8 points); pour le CAP « cuisine », il s’accroît de 12 points

Des taux d’insertion en progression 

Par ailleurs, les chances d’occuper un emploi salarié dans le privé 6 mois après son apprentissage restent plus importantes pour les sortants d’un BP (76 %) ou d’un BTS (71 %) que pour les sortants d’un bac pro (66 %) ou d’un CAP (58 %). Par rapport à la génération précédente, la progression du taux d’emploi à six mois est cependant plus marquée pour les CAP (+7 points) et les bac pro (+6 points) que pour les BP et les BTS (+3 points chacun).

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