Un joyau aux confins de la Lozère

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L’hôtel et le restaurant du château d’Orfeuillette sont dans le giron de Christophe Brunel depuis 2010. L’entrepreneur, issu d’une famille d’hôteliers qui ont démarré leur activité en 1904, est à la tête du groupe Brunel qui comprend aujourd’hui plusieurs établissements, dont le Château d’Orfeuillette****, le Rocher blanc ou encore Les Portes d’Apcher, à Saint-Chély-d’Apcher. Ancré au cœur du Gévaudan, entre l’Aubrac et la Margeride, Le Château d’Orfeuillette, édifié au XIXe siècle, apparaît aujourd’hui comme un hôtel de charme à la décoration contemporaine. Rénové en 2010, chacune de ses pièces se veut « poétique, glamour, chic et inoubliable ». Bordé par un parc de 12 hectares, ce luxueux château a pour décor un jardin paysager avec une vue imprenable sur les monts aux alentours. Fort de 18 chambres et d’un restaurant baptisé Le Théophile, le château emploie une dizaine de salariés, dont trois en cuisine. Cette dernière est animée par le chef Martin Berger, un trentenaire autodidacte notamment passé par la Hollande. Lejeune chef déploie au château une cuisine gastronomique qui fait la part belle au terroir : veau de l’Aveyron, truite sauvage, etc. Le Théophile n’est ouvert que le soir et accueille essentiellement la clientèle de l’hôtel. Entre 35 et 40 couverts sont servis durant la saison pour un ticket moyen avoisinant les 65 euros. Sur les 18 chambres, 11 sont réparties dans le château (170 à 390 euros la nuitée) et sept prennent place dans L’Annexe (80 à 120 euros), située à quelques encablures de la bâtisse principale.

L’une des chambres

L’une des chambres

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