Mayotte : Thierry Marx sur place en soutien aux professionnels sinistrés
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Le 5 décembre dernier, le cyclone Chido frappait durement Mayotte. Au-delà des drames humains, l’Umih a décidé d’accentuer son aide aux professionnels du HCR toujours sinistrés.

Vendredi 17 janvier. Thierry Marx, président de l’Umih, effectue une visite sur l’île sinistrée. Objectif : aller à la rencontre des adhérents et leur apporter des réponses concrètes, au côté de Charles-Henri Mandallaz, le président de l’Umih Mayotte. Et la tâche s’annonce immense.

Les secteurs clés sont particulièrement touchés : agriculture, tourisme, hôtellerie restauration. Visite qui fait suite à une feuille de route évaluant dès le lendemain de la catastrophe les dommages et de là planifier les réparations.
Un seul chiffre
67% des établissements sont fermés.
Notre syndicat professionnel est en première ligne pour répondre aux défis urgents des infrastructures détruites, des pertes agricoles massives et de la chute de l’activité touristique
« Au-delà d’un premier acheminement de 200 000 litres d’eau, effectué grâce à la mobilisation de l’Umih 33 et la Source des Abatilles, l’UMIH souhaite apporter à Mayotte son soutien à plus long terme », poursuit Charles-Henri Mandallaz. Il est en outre le porte-voix des acteurs économiques mahorais réunis.
Contestation
Ces derniers demande au gouvernement d’être associés à la reconstruction. Avec l’intermédiaire du préfet de Mayotte une lettre est envoyée à Bercy. Ce collège économique conteste la proposition du dispositif d’aide aux entreprises. Il même jugé comme « hors sol »…
Le projet prévoit une aide sur deux mois. Alors que la reprise des HCR est évaluée à cinq mois.
Les acteurs économiques mahorais (CCI, CPME, U2P, CMA, Jeunes agriculteurs, AIM, CAPEB, et l’Umih)
- CCI
- CPME
- CMA
- Jeunes agriculteurs
- AIM
- CAPEB
- UMIH