Trois questions à Samir Bellahcene, cofondateur de B.Bell, l’enseigne spécialisée dans la viande cuite à la broche

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Rencontre avec Samir Bellahcene, cofondateur de B.Bell, un concept de viande cuite à la broche situé dans le 3e arrondissement de Paris.

Samir Bellahcene
Samir Bellahcene. Crédit : DR.

Samir Bellahcene est le cofondateur de B.Bell Broche situé au 74 rue de Turbigo à Paris (3e). Dans ce restaurant spécialisé dans les sandwichs à base de viande rôtie à la broche, avec son frère, il propose des recettes très personnelles avec des produits qualitatifs et sourcés. Samir Bellahcene a répondu aux trois questions d’Au cœur du CHR.

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Samir Bellahcene et avec mon frère Stéphane nous avons ouvert B.Bell, notre concept de sandwichs à base de viande cuite à la broche, il y a sept ans maintenant. Comme lui, je suis un fan de fast-food et de viande rôtie. On trouvait qu’il y avait un manque de choix dans les recettes qui étaient déjà proposées et qu’en plus, peu de produits étaient sourcés. C’est en partant de cette idée que nous avons voulu ouvrir notre propre restaurant de viande rôtie à la broche, quelque chose d’original et qui nous ressemble.

Qu’est ce qui vous préoccupe le plus en ce moment ? 

Je dirais l’inflation. Depuis notre ouverture, les prix de nos matières premières ont doublé. Bientôt, on ne pourra plus proposer la même offre à nos clients. En ce moment, nous faisons des travaux pour réouvrir notre salle intérieure. Nous allons également changer notre carte et proposer des nouvelles recettes. Malheureusement, les prix devront augmenter une fois les travaux et la nouvelle carte terminés. En revanche, pour rester positif, je constate qu’il y a maintenant beaucoup de fast-food qui proposent des produits de qualité.

Comment envisagez vous la saison cet été ?

Très honnêtement, je ne sais pas quoi en penser.Il n’y a pas vraiment de règle. Avec cette hausse des températures, les clients commandent moins de formules sandwichs avec frites alors on perd un peu sur notre chiffre d’affaires. Mais je suis assez optimiste : lorsqu’ils se seront habitués à ces chaleurs tout reviendra à la normal.

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