Florence Lesage, Georgiana Viou… Les repères de la semaine

Florence Lesage est la nouvelle cheffe pâtissière de Fleur de Loire*****, le Relais & Châteaux de Blois (Loiret-Cher). La championne du monde des Arts sucrés 2022 se voit donc confier l’élaboration de la carte sucrée du restaurant doublement étoilé Christophe Hay, du restaurant Amour Blanc, ainsi que des pâtisseries et confiseries en vente au kiosque à pâtisseries de l’établissement. Florence Lesage a intégré The Westin Paris Vendôme (1er) comme sous-cheffe pâtissière en 2016, avant d’en devenir la cheffe pâtissière deux ans plus tard. « Fleur de Loire représente pour moi une véritable opportunité de me rapprocher de l’essentiel, de la sincérité et de la nature », a-t-elle précisé.

Georgiana Viou, cheffe du restaurant Rouge* à Nîmes (Gard), est la coach de l’équipe Filles à côtelettes du prochain Championnat de France de barbecue. La finale de cette compétition se tiendra les 9 et 10 septembre, au Château d’Avignon des Saintes-Maries-de-la-Mer (Bouches-du-Rhône). L’équipe de la cheffe étoilée est composée d’Élodie Porracchia (bergère), de Marine Texier (apprentie bouchère) et de Julie Richard (chargée d’animation de l’AOP Taureau de Camargue). Cette équipe entièrement féminine proposera trois recettes signées Georgiana Viou : un pavé de bœuf en feuilles de bananier et aubergines fumées, un pavé de taureau de Camargue et un gigot d’agneau en trois façons.

Cindy Heritier a été nommée au poste de directrice générale déléguée du groupe Dalloyau. Avec plus de 20 ans d’expérience dans le développement commercial au sein de maisons comme Potel et Chabot ou encore du groupe Butard Paris, Cindy Heritier a rejoint Dalloyau en 2022 en tant que directrice commerciale. Elle a notamment participé au virage RSE et à la transformation des activités du groupe. Dorénavant, en tant que directrice générale déléguée, elle souhaite « réinventer le traiteur à emporter, proposer le meilleur de la pâtisserie et apporter une dimension responsable à nos réceptions ». Dalloyau poursuit ainsi son développement avec l’ouverture de kiosques et d’espaces de restauration.

En baisse

La traduction de « dark kitchen » par « restaurant tout en ligne » est vivement dénoncée par l’Umih. Alors que dans un avis paru au Journal officiel le 1er juillet, la Commission interministérielle d’enrichissement de la langue française s’est prononcée pour adopter cette dénomination pour parler des cuisines fantômes, uniquement dédiées à la livraison, le syndicat a exprimé son opposition et sa préoccupation. L’Umih demande ainsi une traduction plus en phase avec la réalité, car cette formulation « crée une confusion inutile avec le restaurant traditionnel et induit le consommateur en erreur en lui laissant penser qu’il bénéficiera d’une expérience comparable à celle d’un restaurant ».

Dans la presse

À Barcelone, les clients seuls sont proscrits « La colère monte dans les rues de Barcelone. Depuis quelques mois, les restaurateurs de la capitale catalane s’allient pour mettre en place une nouvelle pratique : interdire aux personnes seules de s’installer pour manger ou boire un verre. » C’est ce que témoigne Le HuffPost, ce 7 août, relayant un article d’El País publié trois jours plus tôt. En effet, de plus en plus de Barcelonais se voient confrontés à ce type de refus sous prétexte qu’ils ne sont pas accompagnés. « Sur la première terrasse où j’ai obtenu une table, un serveur est arrivé rapidement et m’a dit qu’elle était réservée, explique Eudald. Ce n’était pas le cas. Dès que je me suis levé, un groupe de touristes s’est assis derrière moi. À la suivante, on m’a prévenu que je n’aurais que 20 minutes. J’ai précisé que je voulais dîner, mais ils ont insisté pour que je le fasse dans ce laps de temps. » À la suite de ces pratiques, précise le quotidien espagnol, la mairie de Barcelone aurait saisi l’association des restaurateurs de la ville.

Insolite

Barbie s’invite dans un village de vacances Le Forte Village surfe sur le succès du film « Barbie ». Ce resort du sud de la Sardaigne (Italie), s’étendant sur 47 hectares et offrant un choix d’une dizaine d’hôtels et 13 villas de luxe, propose des forfaits permettant aux jeunes filles de prolonger la magie (ou le désenchantement) du film de Greta Gerwig. Les forfaits Barbie Glamour (480 € la semaine par enfant) et Barbie Pink (380 € la semaine) donnent donc l’opportunité aux enfants âgés de 4 à 12 ans « de séjourner dans une chambre baignant dans l’univers Barbie, depuis les parures de lits et coussins jusqu’aux serviettes et peignoir, en passant par une trousse de toilette remplie de produits aux couleurs Barbie ». Ces deux forfaits permettent également l’accès à la Barbie Fashion Academy, qui propose quotidiennement une multitude d’activités dans la Barbie House. En bonus, dans le forfait Barbie Glamour, sont compris « une séance de pose de vernis à ongles et un soin du visage naturel au sein de l’apaisant Acquaforte Thalasso & Spa ».