Entretien décalé avec Amandine Chaignot

  • Temps de lecture : 2 min

Pouliche Paris (Paris 10e) & Café de Luce (Paris 18e)

Votre café/restaurant fétiche ?

Brawn à Londres, là où je passais tous mes dimanches midi, sur le marché aux fleurs de Columbia Road. Menu unique, super carte des vins, super musique…

Une boisson et un lieu ?

Un verre de champagne de la Colline inspirée, en magnum, d’Emmanuel Lassaigne, sous un tilleul avec mon amoureux.

Votre expérience culinaire la plus marquante ?

Un déjeuner en Belgique, dans le restaurant des frères Folmer, pas très loin de Bruxelles, à Heverlee, j’étais hyperémue, j’en ai pleuré d’émotion…

Votre péché mignon le plus inavouable ?

Les Balisto jaunes et les Curly.

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

Les classements, je n’en peux plus !

Votre dieu du CHR ?

Jamie Oliver, pour avoir fait bouger les lignes pour protéger les enfants de la malbouffe et des sucres cachés grâce à la sugar tax qu’il a fait voter ! Après il y a des mecs dont je suis admirative pour la façon dont ils ont réussi à évoluer et à faire évoluer le métier : Cyril Lignac ou Jason Atherton, qui, en plus, est adorable.

Une anecdote ?

Je fais souvent des lapsus…

Votre dernière cuite ?

Je suis rarement pompette car je n’aime pas perdre le contrôle. Mais la dernière fois que j’ai bu un peu c’était lors de la pétanque des chefs avec mes grands amis de chez Kalios, et on a chanté, dansé, c’était chouette…

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