Entretien décalé avec Bernard Boutboul

  • Temps de lecture : 2 min

Gira Conseil

Votre café ou restaurant fétiche ?

« Si je devais n’en retenir que deux, ce serait Neni, un groupe israélien à la gare du Nord, et Catch, un restaurant de Los Angeles. »

Une boisson et un lieu ?

« Un cocktail à base de rhum dans un bar caché, le Moonshiner à Paris. »

Votre dieu du CHR ?

« Anne-Sophie Pic, la seule femme triplement étoilée au Michelin, qui a la qualité incroyable de ne travailler qu’avec des produits simples. Je ne pensais pas qu’on pouvait atteindre un tel niveau de finesse dans l’assiette avec ce type de produit. »

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

« L’arrogance et le côté familier de certains serveurs ou serveuses. »

Votre plaisir coupable ?

« Le baba au rhum ! Il y en a de très bons, surtout quand on vous pose le rhum sur la table et qu’on vous propose un deuxième baba pour finir la bouteille ! (Rires) »

Une anecdote ?

« J’attendais devant mon véhicule devant l’Auberge Dab de la Porte Maillot, quand Christophe Dechavanne est sorti de sa Porsche et m’a donné les clés de sa voiture : il pensait que j’étais le voiturier ! Il a rapidement compris après que ce n’était pas le cas, ça nous a fait rire tous les deux. »

Votre dernière ivresse ?

« Il y a très longtemps, dans ma jeunesse, lors d’une soirée fondue savoyarde. Il fallait boire un verre de vin blanc à chaque fois que l’on faisait tomber son morceau de pain, et j’étais très maladroit ! (Rires) Je n’ai même pas vu la fin de la soirée car c’était durant le repas. Je ne suis pas quelqu’un qui boit beaucoup, voire du tout, lorsque j’arrive au troisième ou quatrième verre je suis déjà parti alors que les autres ne ressentent rien ! »


Bernard Boutboul Président de Gira
Bernard Boutboul, président du cabinet Gira Conseil.

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