Entretien décalé avec Bruno De Monte

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Ferrandi – Paris

Bruno de Monte
Bruno de Monte. Crédit : La Revue des Comptoirs.

Bruno De Monte, directeur de l’Ecole Grégoire Ferrandi s’est prêté au jeu de notre interview « Cul sec ». 

Votre café-restaurant fétiche ?

Chez Bob, à Saint-Palais-sur-Mer. C’est dans ma région et le lieu est synonyme pour moi de vacances. Ils servent surtout des burgers traditionnels faits maison avec d’excellentes viandes et le restaurant est sur plage.

Une boisson et un lieu ?

Le pinot, sur ma terrasse, en Charente-Maritime.

Votre expérience culinaire la plus marquante ?

J’ai mangé des œufs de fourmis dans un plat mexicain, lors d’une démonstration d’un chef, à l’école. Je n’ai pas vraiment aimé, car c’était extrêmement pimenté, et j’ai trouvé le goût assez terreux. Mais manger ces gros œufs de fourmis blancs était une expérience surprenante, qui m’a marqué.

Votre péché mignon le plus inavouable ?

J’aime beaucoup la Fluff, la pâte à tartiner au marshmallow. Et si je peux ajouter un peu de chocolat avec, je le fais !

Votre dieu du CHR ?

Je n’en ai pas un, mais plusieurs : mes étudiants, qui créent leur entreprise très peu de temps après leur sortie. Ils sont talentueux et courageux, j’ai beaucoup de considération pour eux et le travail qu’ils accomplissent.

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

Les cartes avec des noms de plats compliqués et pompeux, et les plats en décalage avec les saisons.

La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

Malheureusement, cela fait très longtemps, tellement longtemps, qu’à mon âge canonique, je ne m’en souviens plus vraiment. Quand on est jeune, on arrive à faire des excès, ensuite, un peu moins.

Bruno de Monte.

Bruno de Monte.

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