Entretien décalé avec Cathleen Tabart

  • Temps de lecture : 2 min

Au Cœur des Villes

Votre café/restaurant fétiche ?

L’Escargot Montorgueil, au cœur du quartier des Halles, à deux pas de l’église Saint-Eustache.

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Une boisson et un lieu ?

Le vin, car je viens d’une famille de viticulteurs… Le lieu, la cave de mon grand-père où l’on débouche les bouteilles de vin, près des fûts.

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Votre expérience culinaire la plus marquante ?

Un matin à 6 h, j’ai été réveillée par d’agréables effluves épicés de clous de girofle, de baies de genièvre et d’herbes de Provence. Ma grand-mère m’a initiée ce jour-là à la préparation de la daube de sanglier au vin rouge que nous avons dégustée en famille le soir même. Un pur délice et de beaux souvenirs.

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Votre péché mignon le plus inavouable ?

Un plateau de fruits de mer, les pieds dans le sable.

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Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

L’accueil peu chaleureux et convivial de ces restaurants dits à touristes, parce que cela entache l’image de la profession et de notre belle France.

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Votre dieu du CHR ?

Paul Bocuse, pour l’empire qu’il a créé et l’énergie qu’il a apportée à la profession.

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La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

Avec des amis, lors d’une soirée à la maison où nous avons organisé un concours de cocktails. Un ami médecin a gagné le concours haut la main… impossible de nous secourir, l’ivresse était générale…

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