Entretien décalé avec Christian Têtedoie

  • Temps de lecture : 1 min

Têtedoie* (Lyon 5e)

Votre café/restaurant fétiche ?

Je pense naturellement à mon ami « Chez Dumonet », son bœuf bourguignon est absolument remarquable… À Lyon, je dirais le Café Terroir.

Une boisson et un lieu ?

L’hôtel George-V où l’on est toujours remarquablement reçu, et où je prends souvent un délicieux porto.

Votre expérience culinaire la plus marquante ?
Ma dernière émotion culinaire c’est chez Pierre Gagnaire : un dîner formidable !

Votre péché mignon le plus inavouable ?
Ah ! si seulement il n’y en avait qu’un ! Allez, je me jette à l’eau ! Simplicité, gourmandise et savoir-faire, à Paris je ne sais pas résister aux choux en tous genres de Profiterole Chérie de Philippe Urraca. À Lyon, j’ai une vraie passion pour les chocolats de Bernachon. Mais chut, faut pas le dire…

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?
Quand un client arrive en me disant qu’il veut m’essayer. Ha ! ha !, je trouve la formule plutôt déroutante !

Votre dieu du CHR ?

Désolé mais pas de dieu dans la restauration (il n’y en a qu’un), mais j’ai un profond respect pour Régis Marcon, pour son investissement dans notre métier si incroyablement complexe.

Une anecdote ?

Mon Dieu… comment voulez-vous que je réponde à une question pareille ? Il y en a tant et tant…

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