Entretien décalé avec Christophe Fargier

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Ninkasi

Christophe Fargier
Christophe Fargier - ©Trafalgar Maison de Portraits

Votre café-restaurant préféré ?

Le Bistrot du Potager, à Gerland. Le chef y fait des portions sur le principe des tapas. Les produits sont de qualité et bien travaillés, l’ambiance conviviale !

Une boisson et un lieu ?

Le cocktail à la banane Deshaies, au bar l’Officine (Lyon).

Votre expérience gustative la plus marquante ?

La dernière était à Paris, au Brussel Beer Project, où j’ai goûté une bread ale (bière au pain) qui était salée ! J’ai vraiment adoré ce qu’apportait ce mélange.

Votre péché mignon inavouable ?

Les choux à la crème de la pâtisserie Délice des Sens.

Ce qui vous porte sur les nerfs dans votre profession ?

Voir aujourd’hui des petites brasseries avec un ou deux ans d’existence venir nous donner des leçons en nous disant que nous sommes une grosse brasserie industrielle ; cela me dérange profondément. On a fait partie des défricheurs qui ont permis l’émergence de lac raft. Ils se trompent de combat.

Votre dieu du CHR ?

J’ai un vrai attachement à Paul Bocuse. Il est venu visiter la brasserie fin août 1997, c’est un ami qui lui a montré les lieux, sans le reconnaître !

Il est reparti en disant « c’est super, vous avez tout compris » et c’est alors que quelqu’un est arrivé et a dit à mon ami : « Mais tu sais que c’était Paul Bocuse ? ! » C’est une belle histoire, il est un peu notre bonne étoile.

La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

À Turin, dans un bar à cocktails. Ils avaient une large sélection de gin tonic, j’en ai goûté un, puis deux, puis trois… Je suis parti du bar bien enivré !

©Trafalgar Maison de Portraits

©Trafalgar Maison de Portraits

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