Cul sec : l’interview décalée avec Anthony Denon

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Interview décalée avec Anthony Denon, chef du Baudelaire au Burgundy (Paris, 1er) pour la Revue des Comptoirs et Au Cœur du CHR.

Le chef Anthony Denon.
Le chef Anthony Denon. Crédit : DR.

Votre café-restaurant préféré ?

Tomy & Co (Paris, 7e), en plus le chef est un ami. Là-bas, j’adore l’ambiance, la cuisine dynamique, mais aussi l’art de la table et le choix des vins.

Une boisson et un lieu ?

Une boisson à base de fruits fermentés, avec de l’ananas par exemple. Et je la prendrai au bar du Georges V.

Votre péché mignon ? 

Un classique : les lasagnes, celles de ma maman plus particulièrement.

Votre dieu du CHR ?

Le chef Christophe Saintagne.

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

Le manque d’amour du métier et ce, de manière générale. Il ne faudrait pas que cela se perde. Aujourd’hui, je ressens un vrai manque de générosité de la part des collaborateurs.

La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

À mon mariage !

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