Cul sec : l’interview décalée avec Brice Gandré, gérant du restaurant Gribiche

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Interview décalée avec Brice Gandré, gérant de l’établissement Maison Grizlaw, pour la Revue des Comptoirs et Au Cœur du CHR.

Brice Gandré.
Brice Gandré, gérant de l'établissement Maison Grizlaw à Valence. Crédit : DR.

Interview décalée avec Brice Gandré, gérant de l’établissement Maison Grizlaw, pour la Revue des Comptoirs et Au Cœur du CHR.

Votre café ou restaurant préféré ?

La Maison Pic à Valence, la maison de mon cœur. C’est elle qui m’a créé, c’est une cuisine dont j’ai toujours aimé l’évolution.

Une boisson et un lieu ?

Un grand blanc de Bourgogne, dans ma maison.

Votre péché mignon ?

Une pomme de ris de veau meunière, j’aime cette odeur, ce goût, cette texture.

Votre dieu du CHR ?

David Sinapian [PDG du groupe Pic, NDLR]. J’ai eu la chance de le côtoyer pendant vingt ans. Je l’apprécie pour sa confiance, sa bienveillance, il m’a fait grandir et vu grandir. Il est un peu comme un père spirituel.

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

La médiocrité, les gens qui pensent que l’on peut s’inventer restaurateur sans créer du plaisir. Ces personnes nuisent à la profession et créent des clients si déçus qu’ils pensent que l’on est tous pareils. Un simple « bienvenu », de la bienveillance et l’envie d’offrir un bon moment changent tout.

La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

Tous les week-ends. Restaurateur c’est un métier où on est obligé d’être bon vivant !

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