Entretien décalé avec Fabrice Sommier

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Georges Blanc

Votre café-restaurant fétiche ?

Le Petit Riche, rue Le Peletier, à Paris. J’y étais directeur, c’est une ambassade des vins de Loire et c’est pour cela que j’aime cet endroit, qui me rappelle ma jeunesse et qui est très convivial.

Une boisson et un lieu ?

Chez mon grand-père, quand j’ai bu mon premier verre de vin.

Votre expérience culinaire la plus marquante ?

Chez Joël Robuchon, quand il venait d’ouvrir son restaurant avenue Poincaré (Paris 16e). Un repas d’anthologie, un nirvana gastronomique. J’ai dégusté un homard servi dans un chou de Bruxelles accompagné d’un hermitage rouge.

Votre péché mignon le plus inavouable ?

Un joli verre de porto accompagné d’un cigare.

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

Le fait que les sommeliers oublient souvent que nous sommes simplement une courroie de transmission et au service des clients et des vignerons.

Votre dieu du CHR ?

J’ai beaucoup d’affection pour mon patron, Georges Blanc !

La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

C’était de l’ivresse et de l’interdit : c’était à New York, j’ai fumé un cigare cubain avec un excellent vin moelleux de la Napa Valley.

Fabrice Sommier.

Fabrice Sommier.

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