Entretien avec Hervé Schwendenmann

  • Temps de lecture : 2 min

Wolfberger

Votre café-restaurant fétiche ?

La Ferme Auberge du Treh au Markstein, en Alsace, un rendez-vous incontournable d’authenticité avec le fameux repas marcaire, les produits laitiers fabriqués par la famille Deybach et les charcuteries à base de viandes issues de leur élevage.

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Une boisson et un lieu ?

Un rhum chez Barberousse à Montpellier.

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Votre expérience culinaire la plus marquante ?

L’Auberge de l’Ill à Illhaeusern, une adresse magique, une institution à faire au moins une fois dans sa vie.

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Votre péché mignon le plus inavouable ?

Knacks et crémant d’Alsace devant un match du Racing au stade de la Meinau.

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Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

Les pseudo-dégustations à l’aveugle où l’on ne déguste pas des vins avec son palais et son nez mais plutôt avec son cœur et des a priori ou préjugés à revendre.

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Votre dieu des métiers de bouche ?

Hirsinger, chocolatier à Arbois, les meilleures ganaches au monde…

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Une anecdote ?

Dans mon travail de viticulteur, j’essaie en toutes saisons d’être dans mes vignes au lever du soleil pour contempler la nature qui s’éveille… et je fais des photos tous les jours que je poste sur les réseaux sociaux.

Votre dernière cuite ?

Le 24 décembre, la veillée de Noël 2018, aux vins et crémants du monde entier !

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