Entretien décalé avec Philippe Jugé

  • Temps de lecture : 2 min

Fédération du Whisky de France

Votre café ou restaurant fétiche ?

« La Fine Mousse, au 4 bis avenue Jean-Aicard (Paris 11e). Bianca (Dizon) à la direction et Victor (Leclercq) en cuisine sont les champions hors catégorie des accords bières et mets. Au 6, le bar créé par Laurent (Cicurel), Cyril (Lalloum) et Simon (Thillou), trois pionniers de la bière artisanale. »

Une boisson et un lieu ?

« Un whisky français, bien sûr, à La Zygothèque (Paris 13e), un restaurant de quartier avec plus de 300 whiskies en dégustation. »

Votre expérience gustative la plus marquante ?

« Ne/So (Paris 9e), le restaurant de Guillaume Sanchez, totalement hors norme et déroutant. Sans oublier de passer prendre l’apéritif chez Ne/So 2, son bar à cocktails-tapas, juste en face. »

Votre péché mignon le plus inavouable ?

« Un Ricard, sinon rien. »

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

« L’absence d’une vraie offre de bières et la carte qui va avec. »

Une anecdote ?

« Chez La Mère Lachaise (Paris 20e), un midi, Monica Bellucci s’est installée en face de moi à la (petite) table d’à côté. Tout le monde s’est arrêté de manger et de parler. Je n’ai jamais pris autant de temps pour déjeuner. »

Votre dernière ivresse ?

« Oh, c’était il y a plusieurs années ! (sourire) Après une dégustation (trop professionnelle) de whisky, je suis allé boire un dernier verre de trop au Golden Promise (Paris 2e). Dans le bar à collectors, on a refusé de me servir et je me suis même fait sortir gentiment. Lamentable, après tout ce que j’ai fait pour le whisky ! (rires) »



philippe jugéPhilippe Jugé.

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