Entretien décalé avec Benjamin Le Coat

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Le Paris-Brest à Rennes (35)

Benjamin Le Coat, chef du restaurant Le Paris-Brest, à Rennes
Benjamin Le Coat. Crédit : La Revue des Comptoirs.

Votre café-restaurant fétiche ?

Le restaurant La Tourelle à Trébeurden, où j’ai appris à cuisiner. Après la 3e, chaque week-end, stage, saison, je travaillais là-bas ; c’est là que j’ai mis un pied en cuisine.

Une boisson et un lieu ?

Au soleil, avec la bière Rousse de la Brasserie du Mont-Blanc.

Votre expérience culinaire la plus marquante ?

Mon arrivée au Cinq, car c’est une cuisine que je ne connaissais pas. Je venais du Taillevent, où l’on travaillait les classiques de la cuisine française. Ici, c’est la base des classiques, mais ils sont revisités ! On a le goût, mais visuellement, on est propulsé à des kilomètres. J’ai acquis une autre vision de la cuisine.

Votre péché mignon le plus inavouable ?

Hum… aucun. Je suis fan de fromage.

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

Je suis très jeune pour le dire, mais la nouvelle génération est moins motivée, je trouve.

Votre dieu du CHR ?

Bocuse. C’est une réponse facile, mais grâce à lui, la cuisine française est connue dans le monde entier.

La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

Mercredi dernier, quand j’ai fêté mon départ du Cinq avec mes collègues.

Benjamin Le Coat.

Benjamin Le Coat.

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