Entretien décalé avec Serge Merlet
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Lavazza France
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Votre café-restaurant fétiche ?
Bleu Café sur la grande plage à Biarritz.
Une boisson et un lieu ?
Je suis amateur de whisky, donc un vieux whisky au coin de la cheminée chez moi, un moment de bonheur tout simple.
Votre expérience culinaire la plus marquante ?
Je ne sais pas combien de milliers de restaurants j’ai eu l’occasion de fréquenter, mais il y a un endroit où j’aime bien aller, c’est au Touquet, un endroit sans prétention, Le Paris, avec une cuisine faite maison.
Votre péché mignon le plus inavouable ?
Inavouable, je ne sais pas, mais c’est le chocolat noir.
Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?
Les gens du métier qui pense que parce que l’on est un torréfacteur international, on n’a pas le savoir-faire.
Votre dieu du CHR ?
De Dieu, je n’en ai qu’un. Mais je suis très admiratif des petits torréfacteurs qui font un travail remarquable et qui n’ont pas toujours de grands moyens.
Une anecdote ?
J’aime la paella et j’en ai commandé une au restaurant et, au lieu de me la servir à table, je l’ai reçue dans le dos, car le serveur a trébuché.
Votre dernière ivresse ?
L’arrivée de mon premier petit-fils en novembre 2018. C’est un moment particulier dans une vie.