Gardinier
Votre café-restaurant fétiche ?
Le restaurant Épicure, au Bristol.
Une boisson et un lieu ?
Un grand bordeaux dans le millésime 2005 en haut de la dune du Pyla, au coucher du soleil.
Votre expérience culinaire la plus marquante ?
Un déjeuner à la truffe chez notre ami Pebeyre, à Cahors.
Votre péché mignon le plus inavouable ?
L’inavouable ne s’avoue pas ! Mais le chocolat est mon péché mignon !
Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?
La condescendance et l’intransigeance de certains sommeliers quant à leur prétendue connaissance des vins dits « naturels ».
Votre dieu du CHR ?
Je n’ai pas de dieu, mais un grand respect pour Auguste Escoffier, l’artisan de la renommée de la cuisine française dans le monde.
Une anecdote ?
Être obligé de déguster un œuf de cent ans en Chine…
Sans pouvoir s’esquiver !
La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?
L’ivresse me l’a fait oublier !