Entretien décalé avec Thierry Gardinier

  • Temps de lecture : 1 min

Gardinier

Votre café-restaurant fétiche ?

Le restaurant Épicure, au Bristol.

Une boisson et un lieu ?

Un grand bordeaux dans le millésime 2005 en haut de la dune du Pyla, au coucher du soleil.

Votre expérience culinaire la plus marquante ?

Un déjeuner à la truffe chez notre ami Pebeyre, à Cahors.

Votre péché mignon le plus inavouable ?

L’inavouable ne s’avoue pas ! Mais le chocolat est mon péché mignon !

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

La condescendance et l’intransigeance de certains sommeliers quant à leur prétendue connaissance des vins dits « naturels ».

Votre dieu du CHR ?

Je n’ai pas de dieu, mais un grand respect pour Auguste Escoffier, l’artisan de la renommée de la cuisine française dans le monde.

Une anecdote ?

Être obligé de déguster un œuf de cent ans en Chine…

Sans pouvoir s’esquiver !

La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

L’ivresse me l’a fait oublier !

Thierry Gardinier, président du groupe Gardinier et fils

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