Valrhona ouvre son école dans le Marais

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Le chocolatier a officiellement ouvert le 2 mai dernier dans le quartier du Marais (Paris 3e) son école dédiée aux professionnels. Des stages de trois jours et des conférences thématiques sont proposés par les équipes du chef exécutif Thierry Bridron mais également par des chefs invités.

L'école Valrhona dans le Marais (Paris 3e). ©ilyafoodstories LIGHT

L’école Valrhona située dans le Marais (Paris 3e) a ouvert officiellement ses portes le 2 mai dernier. Il s’agit de la quatrième école du chocolatier, après celles de Tain l’Hermitage (France, 26), New York (États-Unis) et Tokyo (Japon). « Il était important d’être présent à Paris. C’est un lieu de passage et de rencontres », précise Thierry Bridron, chef pâtissier exécutif de l’école Valrhona. Celle-ci, qui a pour marraine la cheffe Claire Heitzler, a déménagé de Viroflay (78) pour le centre de la capitale, dans le but de privilégier la proximité avec les professionnels.

C’est d’ailleurs la volonté de la maison, qui souhaite profiter pleinement de ce nouvel espace. « Nous voulons nous ouvrir à l’international à partir de 2023, via des inscriptions individuelles, parce que nous étions très frustrés que par exemple le petit chef de partie de Copenhague ne puisse pas s’inscrire », poursuit le chef exécutif.

30 stages proposés chaque année

L’espace de 340 m2 sur deux étages dispose d’un laboratoire de 78 m2 qui peut accueillir jusqu’à 12 professionnels par session de stage. Près de 30 formations sont proposées chaque année, soit par l’un des membres de l’équipe du chef Bridron, à savoir Baptiste Moreau, Jérémy Aspa et Samuel Ducrotoy, soit par des chefs invités, comme par exemple Marie Simon, Aurélien Rivoire ou Sébastien Vauxion. Chaque stage dure trois jours, du lundi au vendredi.

Des conférences sont également proposées traitant d’un sujet spécifique pendant trois heures. « L’idée n’est pas de faire une démonstration comme tout le monde peut le faire, mais il s’agit d’aller plus loin en expliquant et en s’appuyant sur des dégustations », souligne Philippe Givre.

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