Le GNI monte au créneau sur le chauffage de terrasse

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Pascal Mousset, président du GNI Île-de-France, a annoncé avoir écrit à la maire de Paris.

Pascal Mousset, président Île-de-France du GNI.
Pascal Mousset, président Île-de-France du GNI. Crédits : La Revue des Comptoirs.

À la suite de la décision de la Mairie de Paris d’interdire le chauffage sur les terrasses fermées par des stores les professionnels parisiens « ne décolèrent pas », assure la syndicat GNI par voie de communiqué.

Leur représentant, Pascal Mousset Président du GNI Paris Île-de-France, annoncé avoir écrit à la maire de Paris pour lui demander des explications : « Si les textes nationaux posent en effet le principe d’une interdiction du chauffage des terrasses, ils prévoient aussi la possibilité de chauffer des terrasses à la condition qu’elles soient fermées par des écrans rigides et couvertes soit par un toit rigide soit par un store », explique Pascal Mousset.

Et de poursuivre : « La Maire de Paris nous refuse cette dernière possibilité sans explication, le 1er adjoint ayant même annulé notre rendez-vous prévu initialement début novembre. Selon le GNI Paris Île-de-France, plus de 40 % des professionnels parisiens ont engagé des dépenses afin de pouvoir continuer de chauffer leurs terrasses en les adaptant aux conditions prévues au niveau national. Pour les 3/4 d’entre eux, la somme investie est supérieure à 5 000€.

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