Rosalyne Sakulwongsa, Stéphanie Le Quellec… Les repères de la semaine

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Rosalyne Sakulwongsa, Stéphanie Le Quellec… Retrouvez les repères de la semaine avec l’Auvergnat de Paris et Au Cœur du CHR.

Rosalyne Sakulwongsa
Rosalyne Sakulwongsa. Crédit : DR.

Rosalyne Sakulwongsa est la nouvelle cheffe exécutive de Médéric (Paris 17e ). Après cinq ans au poste de cheffe formatrice à l’école Ducasse (Paris16e), elle intègre l’école hôtelière Médéric. «C’est un honneur d’arborer les couleurs de cette école emblématique dont les valeurs d’apprentissage sont fortes (gratuité, exigence, inclusion et égalité des chances). Médéric porte un projet ambitieux de développement afin d’offrir aux jeunes apprenants les meilleurs outils d’apprentissage possibles, a déclaré la cheffe. Le cap est donc donné, et quoi de plus enthousiasmant que d’être invitée à donner le meilleur de son expertise et de soi-même afin de construire cette école».

Stéphanie Le Quellec investit Kitchen, le nouveau restaurant de l’hôtel Madame Rêve (Paris 1er). Installé au rez-de-chaussée dans l’ancienne grande poste de Paris, propriété du groupe Laurent Taïeb, ce restaurant s’octroie donc les talents de la cheffe doublement étoilée. Kitchen possède un esprit brasserie BelleÉpoque. Selon la cheffe de LaScène (Paris 8e) : « Il n’y aura pas de carte sophistiquée mais ce que je sais faire et affectionne, les petits plats classiques de la cuisine française : tartare, épaule d’agneau confite, cabillaud vapeur douce, mousse au chocolat noir intense. C’est ma vision de la cuisine d’ici et maintenant.»

Naïs Pirollet rejoint la brigade d’Anne-Sophie Pic. Depuis le 11 septembre, la jeune cheffe lyonnaise a donc intégré les cuisines de la cheffe triplement étoilée à Valence (Drôme). Première femme à représenter la France durant un Bocuse d’Or, lors de la dernière édition, Naïs Pirollet, également benjamine de la compétition, avait terminé 5e. Ce vendredi 8 septembre, la cheffe de 25 ans a présidé le jury de l’édition 2023 des Bocuse d’Or France, accompagnée du vainqueur de l’édition mondiale, Brian Mark Hansen (Danemark), ainsi que de Jérôme Banctel, Pascal Barbot, Romain Meder, Tom Meyer, Jessica Prealpato et Sven Erik Renaa (Norvège).

En baisse

Le budget vacances a diminué à cause de l’inflation, assure le Groupement des hôtelleries et restaurations de France (GHR). En effet, le syndicat enregistre un taux d’occupation moyen dans l’hôtellerie similaire à l’année dernière, mais qui reste en deçà de 2019. L’organisation patronale estime que les Français ont adopté des réflexes anti-inflation. Ils ont «opté pour des vacances moins loin, moins longues et surtout moins chères, assure Didier Chenet, président du GHR […]. Tous les professionnels comptent sur une bonne arrière-saison et notamment la Coupe du monde de rugby pour maintenir et même développer leur activité, c’est indispensable afin de faire face aux échéances.»

Dans la presse

Un restaurateur chaud bouillant Les usagers du métro parisien se souviendront de ce dimanche 3 septembre. À la fin de l’après-midi, la ligne 3 – Galliéni-Pont de Levallois– a été fortement perturbée à cause… d’une violente dispute entre un restaurateur et son client. Selon le site d’Europe 1, l’incident a commencé dans l’établissement et a continué sur le quai : « Remonté, le gérant de l’établissement a poursuivi le consommateur dans le souterrain parisien, faisant alors usage d’une bombe de gaz lacrymogène. Un épais nuage de gaz s’est ainsi répandu dans la station de métro», occasionnant une importante panique. «Les signaux d’alarme des deux rames de métro bondées ont alors été activés. Une situation confuse qui a engendré un mouvement de foule», relate le site de la radio. De plus, «dans la cohue, cinq personnes ont été blessées dont deux machinistes de la RATP». Et le restaurateur «rapidement identifié par les forces de l’ordre, […], a été interpellé puis placé en garde à vue».

Insolite

Un gastro rural et gastronomique Les restaurateurs rivalisent d’imagination pour séduire de nouveaux clients, notamment les familles. Ainsi, à Aignan dans le Gers, il est possible de déguster son repas en terrasse tout en conversant avec… des buffles. Dans une «miniferme dédiée aux enfants», «les animaux sont en liberté et peuvent être caressés et nourris sous la surveillance des adultes. Pendant ce temps, les parents peuvent profiter d’un moment de détente en admirant la vue imprenable sur la chaîne des Pyrénées», indique ladepeche.fr. Il suffi sait d’y penser. L’élevage de ces buffles d’eau ou buffl es d’Asie serait «réservé aux clients». Par ailleurs, «peu modifiée par l’homme», cette «race rustique de travail» serait «encore utilisée dans les rizières asiatiques et pour son lait pour confectionner la fameuse mozzarella di bufala», selon nos confrères. En outre, les propriétaires de la Ferme aux buffles, une entreprise familiale, sont fiers de «participer à la préservation de l’écosystème local et de promouvoir les produits locaux auprès des consommateurs».

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