Repas de famille : entre connivence et préoccupation

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L’étude sur les repas partagés en famille de la chercheuse Failey Le Moal révélée par le groupe Apicil avec le centre de recherche de l’Institut Lyfe met en lumière ce moment privilégié où chacun a des attentes qui lui sont propres.

Le moment privilégié du repas de famille
Le moment privilégié du repas de famille. Crédit : DR.

«À table en famille», l’étude menée par la chercheuse en sociologie Failey Le Moal et révélée par le groupe Apicil et le centre de recherche de l’Institut Lyfe est sans équivoque : si les repas rythment la vie de tous les jours, ces derniers constituent également un temps de partage important entre les membres d’une même famille.

En effet, souvent, le moment du repas reste un pilier pour assurer la cohésion familiale. Ceci est notamment lié au fait que les conversations échangées à cette occasion favorisent un sentiment d’appartenance mais également l’implication dans la vie des uns et des autres, et ce, autant sur le plan professionnel que personnel.

Repas de famille : l’art de jongler avec les impératifs de chacun

Bien que le repas de famille reste un moment privilégié pour pouvoir échanger ou encore faire des découvertes gustatives, il cristallise également toutes les discordes.En effet, le repas partagé en famille doit non seulement combiner les contraintes temporelles de chacun tel que l’heure du coucher des enfants par exemple, tout en respectant certains impératifs diététiques en étant, autant que faire se peut, équilibré et varié.

Par ailleurs, les repas pris en famille doivent idéalement répondre aux préférences individuelles de chacun des membres mais également respecter leurs contraintes alimentaires. La plupart du temps, le fardeau de ces complications revient aux mères de famille qui se sentent à la fois contraintes et stressées par ce moment alors que les pères de famille vivent le temps de préparation des repas comme un moment détente.

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