Alexis Daesm, les steaks « végétaux »… les repères de la semaine

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Alexis Daesm, steaks « végétaux »… Retrouvez les repères de la semaine avec l’Auvergnat de Paris et Au Cœur du CHR.

Alexis Daems
Alexis Daems. Crédit DR.

Alexis Daems est nommé directeur général de Suntory Beverage & Food France (Orangina, Pampryl, Schweppes, Oasis, Pulco…), filiale du groupe japonais Suntory. Ainsi, il remplace Pierre Decroix, promu en tant que président de Suntory Beverage & Food Europe. La maison n’est pas inconnue pour Alexis Daems. Cela fait en effet 14 ans qu’il évolue au sein du groupe, notamment comme directeur commercial et directeur général de la filiale belge. « Je suis particulièrement heureux de prendre les rênes d’une entreprise ancrée dans les territoires, riche de quatre usines et de marques historiques auxquelles les consommateurs sont très attachés », a déclaré Alexis Daems.

Inès Boulant est nommée directrice générale du Syndicat des boissons sans alcool (SBSA), anciennement Boissons rafraîchissantes de France. Avant de prendre la tête du SBSA, Inès Boulant a connu une belle carrière dans la sphère publique et politique. Elle fut conseillère municipale de
Châlons-en-Champagne (Marne), attachée parlementaire de Benoist Apparu et cheffe adjointe du cabinet de Bruno Le Maire au ministère de l’Économie et des Finances durant le premier quinquennat
d’Emmanuel Macron. Inès Boulant a également été cheffe de cabinet d’Alain Griset et d’Olivia Grégoire,
respectivement ministre délégué chargé des PME et secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale, solidaire et responsable.

Accor s’associe avec l’Association de gestion du fonds pour l’insertion des personnes handicapées (Agefiph), en signant une convention de services. L’objectif du groupe Accor est de poursuivre et développer sa politique en faveur des personnes en situation de handicap. Comme conclu avec
les organisations syndicales et l’Agefiph, Accor entend proposer des emplois plus valorisants pour ces
personnes, ainsi que des conditions de travail adaptées et optimales, mais aussi un meilleur épanouissement au travail. Selon Christian Pensart, directeur mission handicap du groupe hôtelier, il s’agit de « favoriser un environnement professionnel plus inclusif et équitable ».

En baisse

Steaks, escalopes et jambons « végétaux ». Ces dénominations sont suspendues par le Conseil d’État. « Le juge des référés du Conseil d’État suspend un nouveau décret interdisant de nommer les produits comportant des protéines végétales par des termes de boucherie ou de charcuterie tels que “ steak ”, qui devait entrer en vigueur au 1er mai », précise la plus haute juridiction administrative. Le juge des référés estime qu’il existe un doute sérieux sur la légalité de cette interdiction. Dans l’attente de la réponse de la Cour de justice de l’Union européenne, il ne souhaite pas porter « une atteinte grave et
immédiate aux intérêts des industriels vendant exclusivement ce type de produits
».

Dans la presse

Rue Ramey, nouveau temple de la cuisine ?
« Moins bourgeoise que les rues Caulaincourt et Custine qui la coupent en son milieu, moins touristique que Montmartre qui la toise, la rue Ramey est déjà en pleine eff ervescence en ce vendredi soir-là, à l’heure de l’apéritif. Cette artère qui dévale le flanc est de la Butte, à mi-chemin entre le Sacré-Cœur, le quartier populaire de la Goutte-d’Or et la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, serait-elle le dernier-né des repaires des passionnés de la “food” ? »

C’est la question posée par Le Parisien, dans un article publié le 3 avril. Et pour cause, la rue Ramey – « dépourvue de commerces de qualité il y a encore quelques années » – semble devenir « un eldorado culinaire où les bons restaurants sans esbroufe fleurissent ». En effet, entre le n° 61 et le n° 4 de cette rue, on ne dénombre pas moins de huit adresses en tout genre, dont un restaurant-cave à vin (Les Naturistes), une cantine d’inspiration japonaise (Nakatsu), des restaurants bistronomiques (Meha et Pagaille), un kebap berlinois (Gemüse) ou encore un bistrot (L’Atelier Ramey).

Insolite

Fermée pour raisons d’hygiène, cette boucherie rouvre

La Maison Vessière, boucherie lyonnaise du quartier de Monplaisir, avait été fermée le 2 avril, après que la direction départementale de la protection des populations (DDPP) a relevé la présence de cafards et de déjections de rongeurs. Mais seulement quelques jours plus tard, ce 10 avril, la boucherie a annoncé sa réouverture. « Nous avons répondu dans un temps très court aux demandes de la préfecture en répondant aux actions correctives. Un soulagement et beaucoup d’envie animent l’équipe pour accueillir et conseiller les fidèles clients d’une institution, qui occupe le quartier depuis 24 ans », a indiqué la direction de l’établissement dans un communiqué. Si « des traces de déjections de souris ont effectivement pu être trouvées dans les locaux », la boucherie assure qu’« une société spécialisée dans la lutte contre les nuisibles est intervenue plusieurs fois pour contrecarrer ce phénomène ».

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