Julia Sedefdjian, Les Rupins… Les repères de la semaine

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Julia Sedefdjian, Les Rupins… Retrouvez les repères de la semaine avec l’Auvergnat de Paris et Au Cœur du CHR.

Julia Sedefdjian, propriétaire et cheffe du restaurant Baieta à Paris.
Julia Sedefdjian, propriétaire et cheffe du restaurant Baieta à Paris. Crédit : TheTravelBudsStudio x Ciceron15

Julia Sedefdjian, cheffe de Baieta (Paris 5e), a été honorée des insignes de Chevalier de l’Ordre national du Mérite, par Guillaume Gomez, représentant personnel du président de la République pour la Gastronomie et l’Alimentation. « Quel chemin parcouru depuis ce titre de plus jeune cheffe étoilée en 2016 », a déclaré ce dernier lors de la cérémonie du 29 janvier. « Je remercie ma famille, mes amis, mes collaborateurs, d’avoir été à mes côtés pour célébrer ce jour qui restera gravé à jamais dans mon cœur. Un immense merci à Guillaume Gomez, notre rencontre a été un tournant dans ma vie, te choisir en tant que parrain de cette cérémonie a été une évidence », s’est prononcée Julia Sedefdjian.

Les Rupins (Paris 10e), restaurant traditionnel il y a sept ans par Stéphane Pingeot sur le boulevard Magenta, arrive en tête du classement des 100 meilleures tables françaises du site de réservations TheFork. C’est également un bistrot, Comme chai Toi, quai Montebello (Paris 5e), dirigé par Mathieu Limon et Fabien Peyre, qui figure en deuxième position, devant l’Auberge de Venise (Paris 14e). Le premier restaurant étoilé de la liste, L’Orangerie (Hôtel George V, Paris 8e) occupe la 4e place. Il faut attendre la 14e position de ce classement largement accaparé par les Parisiens (54 dans le top 100) pour trouver un restaurant de province, L’Écume, à Lyon (Rhône).

Emmanuelle Perkins est la nouvelle directrice commerciale et de la stratégie marketing de la Cave de Tain, basée à Tain-l’Hermitage (Drôme). Âgée de 41 ans, diplômée en viticulture, œnologie et commerce, elle a commencé sa carrière chez Dauvergne et Ranvier, un négociant de la vallée du Rhône. Avant son arrivée à la cave de Tain, Emmanuelle Perkins était directrice commerciale et marketing chez Rocca Maura (vignerons de Roquemaure). Désormais, sa principale mission « sera de faire progresser commercialement la Cave de Tain, en augmentant sa reconnaissance, sa visibilité et son dynamisme sur le marché international », indique un communiqué de la coopérative rhodanienne.

En baisse

La ville de Marseille n’enregistre pas d’importantes réservations hôtelières à l’approche des JOP 2024, alors que la cité phocéenne accueillera des épreuves de voile et de football. C’est ce que souligne aux Échos Nicolas Guyot, vice-président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH) des Bouches-du-Rhône : « Excepté deux hôtels réquisitionnés pour l’accueil des sponsors et des journalistes, les professionnels n’ont enregistré aucun sursaut de réservations pour les 12 jours de compétitions. » Le vice-président de l’organisation patronale a pourtant sondé « une quarantaine d’acteurs parmi les 110 que compte la ville », soit 9.500 lits au total.

Dans la presse

Pour attirer des touristes, l’État s’associe à Netflix. « La plate-forme lance, en partenariat avec Atout France, un guide touristique qui fait la promotion des lieux de tournage des séries ou des films qu’elle produit », nous informe Le Monde, ce 2 février. De plus, Netflix produit un spot publicitaire « pour promouvoir le tourisme en France ». Celui-ci est « appuyé par le service d’information du gouvernement ».

Ainsi, on apprend dans ce guide touristique que Villefranche-de-Rouergue, dans l’Aveyron, a été la toile de fond de la série Toute la lumière que nous ne pouvons voir (50 millions de vues), ou encore que « le château de Chantilly, dans l’Oise, a servi de décor à The Gray Man, que l’abbaye de Chaalis, dans l’Oise également, a accueilli Family Business, que l’église Saint-Julien-le-Pauvre, à Paris, apparaît dans Berlin ». Un sondage réalisé par Netflix précise que « le fait d’avoir déjà vu des films français (ou tournés en France) dans son catalogue a un effet décisif sur l’envie de connaître la France ».

Insolite

Un macaron au ketchup pour la Saint-Valentin. C’est une collaboration surprenante ! À l’occasion de la fête des amoureux, la célèbre marque de sauces, Heinz, s’associe à Fauchon pour proposer le « Tomacaron », un macaron au ketchup. « Ce macaron off re des notes vives et gourmandes de fruits rouges, de rhubarbe acidulée et florale ainsi qu’une touche de gingembre, accompagnée d’un cœur de Tomato Ketchup Heinz au goût authentique », précise un communiqué de presse.

Ces macarons – fabriqués, assemblés et décorés par l’équipe d’experts en pâtisserie de Fauchon, guidée par le chef exécutif Sébastien Monceaux – pourront être dégustés dès le 14 février au Grand Café Fauchon (Paris 8e)… en accompagnement d’un cocktail exclusif, l’Inattendu, imaginé par le mixologue Jean-Baptiste Launay. Par ailleurs, Heinz et Fauchon ont lancé un concours national sur Instagram (clôturé le 11 février), pour offrir une chance de gagner l’un des 57 coffrets de « Tomacaron ».

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