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Journaliste pour L'Auvergnat de Paris et Rungis Actualités (le magazine officiel du Marché International de Rungis).
À Mende (48), un nouveau restaurant vient d'ouvrir ses portes : Beurre Noisette.
Au Cap Combattut, installé dans les pâturages d'estive auvergnats, Maïté Tichet, agricultrice et restauratrice, propose une cuisine de terroir.
À Saint-Chély-d’Apcher, le Donjon, lieu hybride entre le restaurant et la boite de nuit, renaît sous l'impulsion de Stéphane Rousset, propriétaire des lieux depuis un an.
Pour gérer les installations touristiques qu’elle détient, la Lozère mise sur une société d’économie mixte, la Selo. Elle a pu ainsi créer des lieux « emblématiques et structurants » qui ont dynamisé son attractivité. Sophie Pantel, présidente du département, s’exprime sur sa politique en matière de tourisme.
Réapparue depuis une vingtaine d’années dans le département grâce à deux pionniers, la vigne résiste en Lozère. De plus, quelques nouveaux acteurs prennent la relève.
Après une carrière dans l’import-export, Jacky Pirrera s’est relancé en créant deux restaurants à Mende qui connaissent un succès certain. Ses talents et son pragmatisme lui ont permis de trouver les clés de la réussite: le rapport qualité-prix, le sens du décor, la communication ainsi qu’une capacité d’adaptation permanente.
Née il y a deux ans, l’épicerie fine en ligne La Quinta Portuguesa se propose de distribuer aux restaurants portugais, installés en France, un large assortiment de produits plus authentiques et représentatifs du terroir.
Pour élargir son audience et faire face à la pénurie de personnel, la chaîne auvergnate La Mangoune se diversifie avec des pâtes et des produits de restauration rapide, sans oublier de se positionner sur la vente à emporter.
Retrouvez l'édito de l'Auvergnat de Paris du 20 juillet 2023, par Jean-Michel Déhais.
Village Fani, groupe d’hôtellerie familiale créé en 1985, s’est développé ces dernières années en rachetant cinq établissements dans le Cantal. Pour rentabiliser ces structures rurales, les dirigeants parient sur une automatisation programmée des restaurants d’hôtel.
Sous l’impulsion de la CCI, la politique de développement touristique du Cantal est remise en question. Réunis à travers un cluster, une douzaine de professionnels sont conviés à participer à la conduite d’un plan à l’horizon 2040. Un projet ambitieux qui passe par une meilleure communication entre les acteurs.
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